Noël solidaire ou Noël solitaire
Cette édition du Libérateur se penche sur un sentiment que beaucoup peuvent ressentir durant la période de fêtes : la solitude. Bien qu’entouré, il est possible de se sentir seul : par exemple, lorsque le temps de trinquer arrive et que l’on mène une vie sans alcool, la solitude peut être cette ombre qui plane sur une période censée être lumineuse. Tandis que les rues scintillent et que les rires emplissent les maisons, beaucoup ressentent un vide, un décalage cruel avec l’effervescence ambiante. La pression sociale du "bonheur obligatoire" ne fait qu’accentuer cette fracture intérieure. Il est pourtant possible de profiter de ce bonheur ambiant en menant une vie différente. Et si, au-delà des traditions, nous tendions la main à ceux qui traversent ces instants seuls, pour redonner du sens à cette période de partage ?
Bonne lecture et bonnes fêtes à tous !
